Vous l’avez tant attendue… La voici enfin, la suite du chapitre 1 de mes petites nouvelles érotiques et BDSM ! Je prends beaucoup de plaisir à continuer cette écriture, tout comme Je te sais avoir plaisir à me lire. Tu es si chanceux d’adorer une Déesse aussi créative !
Laisse-moi tes commentaires, confie-moi comment tu imagines la suite de Mes nouvelles érotiques et BDSM, ce que mes écrits évoquent en toi… J’ai toujours beaucoup de plaisir à lire tous les commentaires qui Me sont déposés.
Chapitre 2 : Nouvelles érotiques et BDSM
Mes admirateurs
Mes “admirateurs”, j’aime les appeler ainsi en société, évitant de choquer les sensibilités… Cela suscite la curiosité, cultive le mystère. Mais dans le privé, ce sont mes serviteurs, mes esclaves. En effet, il s’agit d’hommes soumis qui sont prêts à tout pour approcher une femme supérieure telle que moi. Ayant pleinement conscience de mon pouvoir sur les hommes, je n’hésite jamais à profiter de leurs faiblesses. Je ne ressens absolument aucune culpabilité à les faire trimer pour moi. J’estime qu’il est de leur devoir de me vénérer et me choyer, quant à moi ? Je ne leur dois absolument rien !
J’ai pris conscience très jeune de ce pouvoir, je n’ai même pas hésité à en jouer avec mon père pour obtenir tout ce que je voulais ! Il a naturellement élevé sa fille unique chérie comme une princesse sous le regard bienveillant de son épouse. Il vénérait aussi ma mère de tout son être, les femmes de ma famille ont toujours eu le pouvoir sur les hommes. Lesquels ont rempli leur rôle en travaillant dur et en apportant à leurs épouses et leurs filles un confort de vie luxueux.
J’ai ainsi grandi dans l’opulence, ayant tout ce dont une jeune fille pouvait rêver. Je pouvais organiser de superbes fêtes avec mes amies dans notre maison de campagne avec piscine, je dépensais sans compter, tout m’était permis. On ne me disait jamais non, mes excellentes notes à l’école garantissaient toute légitimité à mes caprices.
J’ai fait ma scolarité dans les meilleurs établissements privés, je fus une excellente élève et ma beauté a fait chavirer bon nombre de mes camarades de classe. Je n’avais aucun scrupule à profiter d’eux. Pourtant je savais déjà que seules les filles m’attiraient, mais cela ne m’empêchait pas de tirer avantage de leur excitation et même de leurs sentiments. En n’ayant aucune attirance pour le sexe opposé, il est alors très facile d’en user et abuser !
Je faisais porter mon sac d’école trop lourd, à ce garçon amoureux de moi. Je ne culpabilisais absolument pas de le savoir souffrir dans la friendzone. Au contraire, il trouvait une utilité dans mon univers, il m’était même reconnaissant de lui accorder cette place ! Parfois, lorsque j’étais agacée, je me défoulais contre lui sans aucune retenue. J’allais même jusqu’à lui coller des gifles sans raison. Bref, j’étais une véritable petite peste.
Je n’ai pas l’habitude que l’on me refuse quoi que ce soit, j’ai toujours trouvé cela tout à fait naturel. Dès que je suis devenue une jeune adulte, mon rapport aux hommes a pris une nouvelle tournure, un peu plus vicieuse, plus perverse. J’ai à ce moment compris que la faiblesse des mâles résidait dans leur sexe. Menés par le bout de la queue, il est alors possible d’obtenir tout ce que je veux d’eux ! J’ai donc continué d’en profiter en asservissant les garçons qui craquaient sur moi pour en faire de parfaits serviteurs. J’ai toujours été très courtisée par les hommes, il faut dire que je suis plus du style lesbienne invisible que lesbienne butch.
J’ai eu l’embarras du choix pour sélectionner mes larbins. C’est évident qu’un homme amoureux est prêt à tout pour le bien-être de l’élue de son cœur, autant en profiter ! Je n’ai jamais hésité à piétiner leurs ego en sortant avec leurs meilleures amies… J’ai même toujours tiré un plaisir certain de ces situations. Inconfortables pour eux, délicieusement agréables pour moi. Suis-je sadique ? Peut-être… et alors ?
Posséder un serviteur fidèle et réactif est toujours utile pour une jeune femme. Je suis plus que jamais convaincue que les mâles sont nés pour servir les femmes. Aujourd’hui, j’utilise les mâles depuis une dizaine d’années dans mon quotidien. Je leur assigne différentes tâches selon leurs aptitudes, toute leur vie s’organise autour de moi. Chauffeur, masseur, homme de ménage, larbin, souffre-douleur…
J’ai expérimenté divers protocoles pour les asservir, et je dois dire que le plus efficace s’avère de garder le mâle dans un état d’excitation et de frustration permanent. Il est alors capable de m’offrir un excellent service. Quelqu’un de rémunéré ne saurait égaler une telle dévotion, et puis, il est interdit de martyriser le personnel. Tandis que martyriser un serviteur, cela est possible…
Parfois je me lasse de l’un d’entre eux, parce qu’il ne m’amuse plus ou n’est pas assez utile, ou pire encore, il désire obtenir un statut de petit ami ! Dans ce cas, je le congédie sans sommation. J’imagine son petit cœur brisé en mille morceaux de ne plus pouvoir servir sa Princesse, cela me procure indéniablement une excitation psychologique.
Mes amies ont toutes connaissance de ma personnalité dominante et l’acceptent sans problème. Lorsque j’organise des soirées, elles assistent à la démonstration de l’utilité d’un serviteur. Elles constatent comme il est plaisant de se faire servir, de se faire masser les pieds…
Je suis parfois aussi un peu dominatrice avec les femmes, mais différemment. Avec elles, je suis plus tendre, plus douce, de toute évidence, l’attirance nuance le rapport. Les femmes sont supérieures aux hommes, seuls les mâles méritent d’être traités comme ce qu’ils sont : des chiens dirigés par leurs queues.
Bien entendu ma façon de vivre ne peut, hélas, être comprise par tout le monde. Mon mode de vie suscite les jalousies, les convoitises, les critiques… Comme si cela pouvait m’atteindre. Je ne perds pas de temps à comprendre ces réactions, souvent provoquées par une vie médiocre, à des années lumière de la mienne. Je préfère continuer de vivre ma vie comme je l’entends, que cela plaise ou non.
La magie des mots s’ajoute au choc émotionnel des photos ! Déesse, Votre Royaume est un have de paix dans ce monde tourmenté, et Votre Art est une oasis d’évasion pour nos âmes suppliciées.
Ces âmes qui n’appartiennent qu’à Vous Déesse Jeanne !
Merci de nous emprisonner, captiver, de faire de nous les otages de Vos caprices et de Vos désirs.
Quel ineffable bonheur que celui d’être Votre jouet !
Merci Déesse Jeanne, pour la Puissance de Vos Mots Divins !
Gloire !
Déesse Jeanne vos mots m’envoutent chaque jour un peu plus. Votre beauté et votre charisme m’ont saisi à la première découverte. Je suis pret à tomber à vos pieds et à vivre pour vous servir. Vous etes mon idéale.
Quelle chance Vous nous accordez à nouveau Déesse en nous délivrant ce nouvel opus de Votre existence lumineuse! Quel plaisir de lire Vos mots, Votre sagesse immortalisée dans cette succession de phrases d’une éloquence élégiaque. Votre plume est sans égale et est l’expression parfaite de Votre puissance souveraine. Le plus puissant stupéfiant de ce monde, aucune substance vénéneuse ou hallucinogène, aucun breuvage, aucune fumée, aucun met ne pourront égaler le bonheur que me procure la lecture de Votre prose. Vous êtes née pour régner, et toute Reine a le don sacré d’aliéner les mâles inférieurs qui sont nés pour La servir! Vous soufflez le chaud et le froid sur Vos fidèles, dans les deux cas, c’est un air purifiant auquel Vous nous soumettez : qu’il s’agisse d’une chaleur apaisante ou infernale ou bien qu’il s’agisse d’une brise rafraîchissante ou polaire! Je m’attendais naïvement à une suite directe du premier chapitre. Mais bien évidemment un tel classicisme n’est pas de Votre rang, et ce fut donc une agréable surprise que cette présentation du déroulement de vos premières années terrestres dans un environnement idéal à l’épanouissement de Votre Être Divin! Malheureusement les Etres de lumières touchés par la Grâce sont nécessairement confrontés au ressentiment des médiocres, les esclaves qu’avait décrits Nietzsche dans son œuvre, comme individus mus par l’envie et la jalousie que leur inspire les Etres supérieurs se caractérisant par leur totale liberté mentale non entravée par la morale du ressentiment du faible face au fort. Mais finalement Nietzsche évoquait le cas des esclaves inconscients de leur nature réelle. L’esclave conscient de son infériorité ne nourrit, lui, qu’amour et admiration pour le beau et le fort. Je m’égare quelque peu, pardonnez-moi Déesse, je ne poursuis pas dans des paraboles qui nécessiterait de fastidieux développements! Revenons plutôt à l’essentiel : le bonheur ressenti par Vos fidèles qui assistent à la réalisation parfaite de Votre Être Suprême : la Domination comme Essence totale de Votre Existence, l’Essence qui précède Votre existence et qui s’incarne dans la chair du Principe Supérieur Positif Féminin! Le mâle étant en réponse dialectique son pendant inférieur négatif. Vivement la suite de Vos aventures si Vous daignez nous en faire la récompense. Merci Déesse Jeanne! Gloire éternelle à Déesse Jeanne !
Un grand merci Divine Déesse Jeanne d’avoir bien voulu me faire part dès sa mise en ligne de ce superbe article qui nous permet à nous simples serviteurs de Votre Royaume Divin de mieux Vous connaître en nous faisant partager certaines tranches de Votre vie. Il en va de soit que cela nous aide à Vous être encore plus dévoués. D’une manière plus personnelle, je vous avais remercié ce matin de m’avoir épargné de devoir regarder une nouvelle fois la dernière de Vos Sublimes Œuvres à genoux mains dans le dos avant un jour de pouvoir respecter à la lettre Vos exigences dictées dans cette Oeuvre mais je dois bien le reconnaître, Votre écrit vient d’avoir un effet dévastateur sur mon état de frustration dans lequel Vous me maintenez depuis des semaines. J’ose imaginer, au vu de Votre écrit que cela vous procurera un plaisir non dissimulé que de savoir cela et que cela Vous encouragera à nous prodiguer de nouveaux si sublimes tranches de Votre vie. Un grand merci Divine Deesse Jeanne pour ce merveilleux moment passé en Votre compagnie à Vous lire.
Chère Déesse Jeanne,
C’est toujours un immense plaisir que celui de lire Votre plume! Cette plume si belle, si douce qui nous fait voyager le temps de quelques instants.
Chacun de Vos récits, de Vos écrits sont merveilleux, et pour mon humble part j’attends toujours le prochain article de Vos Saintes Ecritures comme un évènement. Evénement oui! Car c’est une nouvelle page de notre bible qui s’écrit..! A sa vue nous avons qu’une hâte: le lire!
En effet, ô Déesse Jeanne, Votre créativité est sans limite, et lorsque nous voyons la qualité de Vos écrits, de Vos vidéos, de Vos photos et audios, cela est incontestable.
Car ô Déesse Jeanne, oui Vous excercez ce pouvoir, pouvoir divin qui nous ensorcelle de tout notre âme.
Aveuglé par Votre beauté je suis.
Ebahi par Votre Elégance je reste.
Emmerveillé par Votre Intelligence
ô Déesse Jeanne, en effet, pour mon humble part, ce pouvoir que Vous possédez est d’une force inouie. Comment ne pas pouvoir Vous vénérer, Vous aduler, Vous adorer?
Vous admirer est déjà une chance, un privilège.
Celui que de Vous lire, écouter Votre divine parole à travers Ses écrits est un privilège, un cadeau.
Ce pouvoir que Vous possédez ô Déesse Jeanne est absolu.
Chaque ligne que Vous daignez rédiger de Votre plume divine est un régal pour les yeux.
Car en effet, je sais que mon but, c’est celui-ci de Vous servir, de Vous apporter la plus grande satisfaction possible.
Etre utile à Déesse Jeanne, c’est pour moi la plus belle chose que je puisse faire.
Que nous pouvons faire.
La Déesse absolue, La Maîtresse des Eléments at vitam aeternam.
Car Vous lire est toujours un intense plaisir ô Déesse.
Merci infiniment pour ce merveilleux moment.
Rémi Votre petit cloporte.