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Écrit par : Déesse Jeanne

La Déesse suprême de ce Royaume. Dominatrice expérimentée, lesbienne, gynarchiste. Spécialisée dans l'humiliation et la féminisation de l'espèce mâle. Ne résiste plus, soumets-toi à Sa Volonté !
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Le : 10 Mai, 2020

Chapitre 3 : Le cuckolding lesbien

Vous êtes de plus en plus nombreux à quémander la suite de Mes petites nouvelles teintées d’érotisme et de BDSM… La voici enfin ! Je prends beaucoup de plaisir à vous livrer ce récit de cuckolding lesbien, au gré de Mon humeur et de Mes envies. Cette publication en cette journée un peu spéciale, à la veille de la fin d’une parenthèse hors du temps, vous apportera le réconfort nécessaire avant d’affronter votre quotidien. Faites bien attention à vous, Mes fidèles, mais aussi Mes admirateurs, et Mes lecteurs assidus.

Pour ceux qui ont raté les précédents chapitres de ce cuckolding lesbien et BDSM, c’est ici : chapitre 1, chapitre 2.

Chapitre 3 récit cuckolding lesbien

Caprices du matin

J’ouvre les yeux, une douce odeur de vanille réveille mes sens embrumés. Je m’étire dans mes draps de soie mauves. Je tourne la tête, Noémie est à côté de moi en train de me regarder.
« Bonjour petite marmotte ! »
Je me frotte les yeux, je jette un œil à mon téléphone qui affiche 10 heures 30. J’embrasse ma jolie brunette, je me blottis dans ses bras. Je marmonne un « Bonjour… » au creux de ses seins.

Nous avons bien profité de notre soirée hier, un savoureux repas de sushis chez le meilleur Japonais de la capitale. Puis de retour chez moi, nous avons bu une dernière coupe de champagne servie par Lahire, mon serviteur à demeure. Il se tient prêt de jour comme de nuit à répondre à tous mes caprices. Ainsi, enchanté de retrouver sa Maîtresse après avoir passé toute la soirée seul dans le noir, il nous a prodigué d’excellents massages de pieds afin de nous détendre pendant que nous apprécions notre champagne. Nous nous sommes ensuite très vite endormies dans mon lit, enlacées l’une contre l’autre, ravies de nos retrouvailles.

« Maîtresses, avez-vous faim ? » dit une voix timide au loin.
« Lahire, j’ai faim ! » je crie depuis sous les draps.

Noémie étouffe un petit rire. Je la caresse, je faufile mes mains sous sa petite combinaison légère, sa peau est douce. J’embrasse chaque grain de beauté de son ventre, j’empoigne ses petits seins ronds, elle lâche un gémissement. Enfouie sous les draps, j’entends Lahire apporter notre plateau de petit déjeuner, le déposer au pied de notre lit.

Je parcours ce délicieux ventre du bout de ma langue, sa respiration se fait plus forte. J’entends Lahire se dépêcher de regagner la cuisine, il ferme la porte de la chambre derrière lui. Je me relève en hurlant « Non ! Ouverte ! ». Lahire se précipite pour revenir ouvrir la porte, présenter ses excuses et repart aussitôt dans la cuisine.

« Je veux qu’il nous entende jouir, je veux savoir qu’il ne peut pas bander dans sa cage de chasteté et que sa queue ridicule n’est d’aucune utilité. » je déclare à Noémie, l’air triomphant.
« Hum… Tu es délicieusement sadique… »
« Et toi délicieusement mouillée » lui dis-je en enfonçant un doigt dans sa petite chatte humide.
Elle rougit de plaisir et de surprise.

« Tu es bien coquine ce matin… »
J’acquiesce tout en léchant mon doigt trempé de sa cyprine, un instant étonnée, elle se relève et m’attrape par les hanches.

« Petite allumeuse, tu vas voir… » me dit-elle en retirant ma culotte de dentelle noire. Elle fourre sa tête entre mes jambes, embrasse l’intérieur de mes cuisses, caresse mon ventre… et vient coller sa bouche sur mon sexe émoustillé. Je sens sa délicieuse petite langue toute douce se fourrer en moi, me titiller comme elle sait si bien le faire, je ne vais pouvoir lui résister bien longtemps. Ses coups de langue s’intensifient, je vais bientôt sombrer dans un océan de plaisir…

« Ohhh tellement bon… » dis-je dans un dernier soupir de plénitude.
Cet orgasme achevé, je me sens affamée.

« J’ai faim ! On mange ? » lui dis-je toute souriante, les joues rosies par le plaisir.
« Oui Princesse. » me répond-elle en me rendant mon sourire.

Nous attrapons le plateau déposé au pieds du lit par Lahire. Nous y découvrons une salade de fruits frais exotiques, un porridge de céréales à la vanille, du thé vert au jasmin, du jus de pamplemousse. Un délicieux petit déjeuner préparé avec le plus grand soin.

Lorsque nous avons terminé notre repas, nous nous levons pour aller à la salle de bain. Au passage, je croise Lahire qui détourne les yeux, il est gêné que sa Maîtresse soit nue. Je l’ai bien dressé, jamais je ne me sens gênée d’être nue devant lui, c’est lui qui doit l’être, car il ne mérite pas contempler ma perfection à l’état brut. D’un signe de la main je lui signale de nous débarrasser et refaire le lit pendant que nous prenons notre douche.

J’arrive dans la salle de bain je rejoins ma chérie sous la douche. Nous passons près d’une heure sous l’eau chaude, à nous savonner, nous câliner, nous embrasser… Après avoir bien pris le temps de se pomponner, Noémie m’emprunte de quoi se vêtir pour la journée. Je lui recommande ma petite robe moulante vert émeraude, j’adore voir ses fesses bien rebondies dedans. Elle l’enfile sans mettre de sous-vêtements dessous, puis chausse ses escarpins noirs de la veille. Elle est diablement sexy !

Une sonnerie de téléphone nous ramène à la réalité. Noémie attrape son portable pour décrocher, je lis l’inquiétude se dessiner sur son visage, puis elle raccroche et déclare :
« Une urgence au boulot… Je dois filer, je suis désolée Jeanne. »
Je soupire de déception. Elle m’embrasse et me promet d’être de retour dès que possible. Bien trop souvent j’oublie que tout le monde ne passe pas ses journées à se prélasser ! Noémie est déjà repartie, je suis toujours plantée là, nue, en plein milieu du dressing.

J’attrape un soutien-gorge en dentelle rouge avec la culotte assortie, un chemisier en soie rouge, une petite jupe crayon noire. J’enfile le tout en râlant. Maintenant les chaussures, j’ai envie de mettre mes Louboutin favorites avec cet ensemble. Je ne les trouve pas, je suis encore plus agacée !

« Lahiiiiire !! » je me mets à hurler, impatiente.
Le pauvre bougre se précipite à mes pieds.
« Oui, Madame ? »
« Je ne trouve plus mes Louboutin préférées. As-tu oublié de les ranger après les avoir cirées ? Où sont elles ? » dis-je sur un ton puant le mépris à plein nez.
« Madame, je cherche tout de suite. Pardonnez-moi, Madame. » répond Lahire, complètement affolé de me faire patienter.

Il se dépêche de parcourir les étagères où sont exposées ma – petite – centaine de paires de chaussures. Des Louboutin, des Maison Ernest… Et attrape la fameuse paire que je cherchais, cachée en dessous de ma culotte sale de la veille. Il se met à genoux et me les tend.

« Voilà votre paire, Madame. »
D’une main j’attrape la culotte sale, de l’autre sa gueule étonnée et je la lui fourre dans la bouche.
« Tiens, ta récompense. »
Lahire rougit, tout excité de sentir l’odeur intime de sa Maîtresse. Je sais que sa ridicule petite queue se tortille dans sa cage de chasteté.

« T’es bien frustré hein, larbin ? » je lui demande en éclatant de rire.
« Mchoui, Mchadame, pardonch, Mchadame. » répond-il avec ma culotte dans la bouche.
Je m’affale dans le fauteuil en cuir blanc, je soupire.

« Mes escarpins » lui dis-je sur un ton sec tout en agitant mes petits pieds sous son nez.
Lahire se hâte pour enfiler mes Louboutin. Sa queue inutile doit être si dure, qu’elle doit être violette d’être ainsi compressée dans sa cage ! J’adore castrer ses envies de mâle inférieur. Bien fait pour lui, c’est tout ce qu’il mérite. Un jour, je le ferai castrer tel un eunuque.

« J’ai besoin d’une journée détente, je veux aller au SPA, prends-moi rendez-vous. »
Lahire acquiesce, dégaine son téléphone portable et m’obtient un rendez-vous dans l’après-midi, puis me précise fier de lui :
« Madame, vous avez rendez-vous à 15h à votre SPA préféré près de Saint Honoré. »
« Très bien, en sortant j’irai me choisir une nouvelle paire d’escarpins chez Louboutin. »
Je me lève d’un bond, ravie de ce programme.

« Chauffeur ! En route ! » je déclare pleine d’impatience. Lahire attrape les clefs de ma Mini Cooper avant de me suivre comme un bon toutou bien docile.

déesse jeanne blog

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3 Commentaires

  1. loser-bouffon

    Comme chacun de vos écrits ce fut un immense plaisir que de lire cette suite et de partager ainsi un peu de votre vie. Je ne peux que Vous remercier Divine Déesse Jeanne de cela.

    C’est un pur délice que de lire vos textes si bien écris. Votre plume si délicate a le don de nous immerger dans votre quotidien, de nous permettre de mieux appréhender votre vie de tous les jours en nous montrant clairement le monde qui vous sépare de nous, pauvres cloportes serviles.

    Ces petites pointes d’érotisme disséminées savamment ont le chic pour nous surprendre et nous frustrer, mais vos récits nous font tellement de bien.

    Encore un grand merci pour cela Divine Déesse et je ne doute pas un instant que vous n’ayez pas encore d’autres récits si subtiles à nous faire partager avant de reprendre une existence si on peut dire normale avec ce déconfinement qui se profile. N’en abusez pas. Prenez soin de Vous avant tout.

    Pensez qu’une fois un semblant de vie normale retrouvée vous pourrez vivre des moments que je Vous souhaite encore plus intense avec votre amie qui vous procureront encore plus de plaisir. Et qui sait, que vous aurez peut être encore plus plaisir à partager avec nous pour mieux nous frustrer.

    Bien cordialement Divine Déesse et déjà en attente du chapitre 4.’

    Loser-Bouffon

  2. Nuno

    En premier lieu, très chère Déesse, je tiens à Vous remercier chaleureusement de ces merveilleux écrits littéraires que Vous daignez porter à notre connaissance. Je ressens une gratitude immense pour ces cadeaux qui font chaud au coeur de Vos fidèles! Comme tout ce que Vous entreprenez, Vous y apportez le plus grand soin, et Vos nouvelles sont d’adorables petits bijoux d’écritures!

    La suite de Vos aventures est toute aussi palpitante que les précédentes! j’éprouve une telle joie lorsque Vous narrez le sentiment de félicité et de plenitude qui Vous étreint lorsque Vous reposez dans les bras de la douce Noémie. je ne doute pas que le bienheureux Lahire se consume de béatitude lorsqu’il Vous sait comblée et brulante du juste plaisir dans lequel Vous a plongée l’Elue de Votre coeur!

    C’est le souhait le plus cher de Vos fidèles : Vous savoir heureuse, accomplie, épanouie, libre! Nous renonçons à nos petits plaisirs personnels, médiocres et futiles au profit du Vôtre : le seul qui vaille, le seuil qui ait droit de cité dans le Royaume. Les petites attentions humiliantes à l’attention de Votre esclave à demeure ne sont que l’expression de Votre divine supériorité. Je suis convaincu que Lahire les apprécie à leur juste valeur : lui rappeler à quel point il est privilégié de pouvoir consacrer son existence au service de La Déesse Suprême de l’Univers!

    Oui, l’humiliation du mâle inférieur est impérative pour le dresser et lui donner une utilité au service des Femmes Supérieures. En réalité, la frustration imposée au mâle inférieur est le plus grand service que La Déesse peut rendre à Ses fidèles en vue d’en faire des hommes meilleurs, enfin dignes de servir La Déesse, et le Principe Supérieur Féminin! Lui apporter paix et sérénité, donner un sens à sa vie en se mettant au service d’un Etre Divin!

    Merci Déesse Jeanne de nous éduquer, de nous montrer la Lumière!

    Gloire à Déesse Jeanne!

    nuno, Votre serviteur

  3. Remi le Cloporte

    Chère Déesse Jeanne,

    C’est un immense plaisir que de lire le chapitre 3 qui était tant attendu.
    Quel intense plaisir que de voyager loin des tracas habituels de la vie quotidienne. Votre plume nous amène vers de délicieux instants de bonheur. Elle nous permet le temps de quelques délicieuses minutes de nous évader, de voyager mais surtout de rêver. Car ô Déesse Jeanne, Vos romances nous font rêver. Quelle merveilleuse histoire Vous êtes en train de nous raconter. C’est une histoire passionnante, enflamée, rempli de douceur et de bienveillance. Il est évident que nous ressentons une intense sentiment de frustration à sa lecture mais celui-ci est mêlé surtout à une intense sensation de plaisir. Car Vous nous faites rêver, car Votre histoire est belle. Car Vous êtes La Déesse et par dessus tout la Reine de ce Royaume et de nos Ames. Vous méritez tout ce qu’il y’a de plus beau, de plus grand, de plus divin. Vous méritez les meileurs esclaves, serviteurs à Votre service car Vous êtes unique, Car Vous êtes l’exception. Car Vous êtes La grande Déesse Jeanne.

    Chère Déesse Jeanne, demain est la fin de nombreux jours de confinements, de nombreux jours surement pas faciles pour Vos fidèles, adorateurs, admirateurs et nous Vous remercions très sollenellement d’avoir daigné nous faire voyager par le biais de Votre divine plume.

    Fidèles, adorateurs, admirateurs et Vous ô Déesse Jeanne prenez soin de Vous, prenons soin de nous tous.

    Gloire à Déesse Jeanne notre Déesse, notre Reine.

    Gloire au Royaume.

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