Réserve ta séance !

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Écrit par : Déesse Jeanne

La Déesse suprême de ce Royaume. Dominatrice expérimentée, lesbienne, gynarchiste. Spécialisée dans l'humiliation et la féminisation de l'espèce mâle. Ne résiste plus, soumets-toi à Sa Volonté !
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Le : 17 Juil, 2023

Fiction BDSM : Soumission de la mère et sissyfication du fils

Cela fait quelque temps que Je n’ai pas écrit sur Mon blog, en ce moment, Je n’ai que peu de temps à vous accorder. Oui, Je vous vois vous morfondre, rampant dans l’ombre et implorant Ma divine attention. Mon temps est précieux, Je n’ai par contre que faire du vôtre.

Mais afin que l’été te soit plus doux, Je te gratifie une petite fiction que J’ai eu plaisir à écrire au fil d’échanges par mail avec Ma soumise Antoinette. Cette trainée mouille si facilement dès que J’emploie des termes très crus. Voici ta fiction BDSM de l’été, sissyfication et soumission totale sans aucun tabou !

Pour illustrer cette fiction BDSM, J’ai choisi les peintures digitales de Ma soumise M. Tu aimes ce qu’elle fait ? Alors laisse un commentaire en toute fin de cet article, pour l’encourager à en produire de nouvelles ! Et bien entendu, n’oublie pas de Me remercier nez au sol de t’offrir ce roman dédié à la sissyfication et à la soumission pour cet été.

Fiction BDSM : L’apprentissage d’Antoinette

Le premier rendez-vous avec Maîtresse Jeanne

Antoine se trouva devant la porte d’une élégante maison, anxieux et excité à la fois. Il sonna, et une élégante femme rousse avec une aura de confiance et de sensualité ouvrit la porte. C’était Maîtresse Jeanne, une Dominatrice qui avait une réputation bien établie dans le domaine de la domination féminine.

Maîtresse Jeanne accueillit Antoine chaleureusement et l’invita à entrer. L’intérieur de la maison était somptueusement décoré, avec une ambiance sensuelle. Antoine se sentait à la fois intimidé et curieux de ce qui allait se passer. Maîtresse Jeanne l’emmena dans une pièce sombre, éclairée seulement par quelques bougies parfumées. Assise sur un fauteuil confortable, Maîtresse Jeanne commença à expliquer à Antoine ce qui allait se passer. Elle lui parla de la féminisation, de l’exploration de la féminité et de la puissance qui pouvait en découler. Antoine écouta attentivement, ses joues devenant de plus en plus roses à mesure que les mots de Maîtresse Jeanne la pénétraient.

Maîtresse Jeanne prit les mains d’Antoine dans les siennes et le guida vers une coiffeuse recouverte de maquillage, de parfums et de bijoux anaux. Elle commença à appliquer délicatement du maquillage sur le visage d’Antoine, soulignant ses traits féminins et révélant une beauté cachée. Chaque coup de pinceau était une caresse sur la peau d’Antoine, éveillant en lui un sentiment de féminité qu’il n’avait jamais ressenti auparavant. Maîtresse Jeanne lui ordonna ensuite de glisser dans sa petite fente humide un plug anal orné d’un cristal rose.

Puis vint le moment de choisir une tenue. Maîtresse Jeanne ouvrit un grand placard rempli de robes élégantes, de sous-vêtements délicats et de talons hauts. Elle guida Antoinette pour trouver la robe parfaite, ajustant chaque pli et chaque nœud pour mettre en valeur ses courbes naissantes. Tu es maintenant devenue Antoinette, tu seras mon homme d’affaires redoutable le jour, et ma petite pute bourgeoise la nuit.

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L’intronisation d’Antoinette à la sissyfication

Une fois qu’Antoinette fut prête, Maîtresse Jeanne l’emmena dans un grand salon où plusieurs sissies vêtues de manière similaire conversaient joyeusement. Ces sissies étaient toutes au service de Maîtresse Jeanne, ayant choisi de vivre des expériences similaires de féminisation. Antoinette fut accueillie chaleureusement par ces sissies, qui l’encouragèrent et la complimentèrent sur sa transformation. Elles discutèrent de leurs expériences, partageant des histoires et des conseils. Antoinette se sentait à l’aise et acceptée dans ce groupe, découvrant une communauté qu’elle n’aurait jamais imaginée. La soirée se poursuivit avec des jeux et des activités qui mettaient en valeur la féminité des participantes.

Maîtresse Jeanne était le centre de l’attention, guidant les sissies dans des exercices de posture, d’élégance et de grâce. Antoinette apprit à marcher avec assurance, à parler d’une voix douce et féminine, et à se sentir pleinement sissy et soumise. À la fin de la soirée, Antoinette se retrouva seule avec Maîtresse Jeanne. Elles s’assirent ensemble, et une nouvelle fit son arrivée. Antoinette reconnu sa propre mère derrière le masque, elle était aussi au service de Maîtresse Jeanne.

La mère d’Antoinette se soumet jusqu’à l’extrême

Fiona, la mère d’Antoinette, était devenue la soumise de Maîtresse Jeanne lors de cette soirée entre amies. Elle avait dansé nue, l’alcool aidant. Maitresse Jeanne avait baisé sa chatte du bout de ses doigts, et maman Fiona s’était agenouillée pour embrasser les pieds devant toute l’assistance, remplie de femmes supérieures qui riaient aux éclats.

Ce triangle mère, sissy et Maîtresse augurait une suite de la soirée beaucoup plus chaude… Antoinette exprima sa gratitude pour cette expérience transformatrice et les sentiments nouveaux qu’elle avait découverts en elle-même. Elle avait envie d’aller plus loin pour devenir une parfaite petite soumise. Elle avait envie de se soumettre à Maîtresse Jeanne et à sa propre mère, tellement sa chatte anale la démangeait. Maîtresse Jeanne sourit et dit : “Antoinette, tu as découvert une partie de toi-même ce soir, et cela ne fait que commencer…

Après sa soirée inoubliable avec Maîtresse Jeanne, Antoinette était avide de nouvelles expériences et de découvertes. Sa chatte anale la démangeait plus que jamais ! Alors qu’elle plongeait plus profondément dans la féminisation et la sissyfication, un lien inattendu se forma entre elle et Emma, une femme transgenre qu’elle avant rencontrée à la soirée organisée par Maîtresse Jeanne. Les deux soumises partageaient un intérêt passionné pour la féminité.

Leur amitié se développa rapidement et Antoinette se rendit compte qu’elle ressentait une attirance de plus en plus forte envers Emma. Elles passaient de plus en plus de temps ensemble, explorant ensemble les diverses facettes de la féminité et partageant leurs rêves de soumission les plus intimes.

Triangle de soumission au service de Maîtresse

Un jour, Antoinette décida de partager ses sentiments avec Emma. À sa grande surprise, Emma exprima des sentiments similaires. Elles décidèrent alors de laisser leurs cœurs les guider vers une partie de baise passionnée. Emma n’était pas encore opérée, et cela plaisait beaucoup à Antoinette de sentir sa grosse et longue queue lui labourer sa chatte anale.

Pendant ce temps, Fiona, la maman d’Antoinette, entretenait depuis longtemps une relation de soumission avec Maîtresse Jeanne. Elle avait rencontré Maîtresse Jeanne bien avant qu’Antoinette ne fasse sa propre découverte de la sissyfication. Fiona avait trouvé dans cette relation un moyen de s’explorer et de s’épanouir en tant que femme soumise. Elle prenait plaisir à se faire humilier par Maîtresse Jeanne et à voir son fils, devenir sa fille entre ses mains expertes.

Lorsque Fiona apprit la relation naissante entre Antoinette et Emma, elle décida de révéler son secret à Maîtresse Jeanne. Antoinette avait rompu la chasteté obligatoire, nécessaire à son éducation de parfaite petite soumise bourgeoise. Antoinette fut surprise par cette trahison de sa propre mère, et acceptant les conséquences de sa baise passionnée. Elle savait qu’elle devait être punie en exécutant tous les ordres de Maîtresse Jeanne, si elle voulait continuer à bénéficier de son éducation… Après avoir établi une dynamique jugée de tabou ultime par majorité des gens, Fiona, Antoinette et Emma continuaient d’explorer leur relation complexe sous les ordres de Maîtresse Jeanne.

Fiona, avide de soumission, trouvait un plaisir intense dans l’obéissance et la servitude envers Maîtresse Jeanne. Elle se soumettait à tous ses désirs, même les plus extrêmes, et recevait une satisfaction profonde en échange. Maîtresse Jeanne, avec son autorité naturelle, guidait Fiona vers son asservissement le plus total.

 Antoinette, d’un autre côté, était plus cochonne et espiègle dans sa sexualité. Elle adorait explorer de nouveaux jeux de baise effrénées avec Emma, sous les ordres les plus vicieux de Maîtresse Jeanne. Parfois, Fiona participait aussi, ou restait simple spectatrice.

La relation entre Maîtresse Jeanne, Fiona, Antoinette et Emma pouvait choquer n’importe qui, même avec l’esprit le plus ouvert. Maîtresse Jeanne, en tant que figure dominante, guidait ces explorations épanouissantes. Elle tirait les ficelles d’un jeu pervers, où chaque protagoniste était sa marionnette servile.

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Les soirées privées dédiées à l’éducation des soumises

Elle organisait parfois des soirées privées, où elles se retrouvaient pour vivre des expériences intenses. Maîtresse Jeanne adorait offrir ses soumises à ses amies pour assouvir tous leurs fantasmes. Dans ces moments, les rôles étaient naturels, avec Fiona s’abandonnant à sa soumission extrême, Antoinette laissant libre cours à ses envies de défonce anale, et Emma incarnant une présence perverse. Antoinette était certainement celle qui se faisait le plus remarquer, elle était capable d’endurer les défonces les plus sauvages avec les plus gros godes-ceinture. C’est comme si sa chatte ne connaissait aucune fatigue !

Ces soirées étaient remplies de jeux de pouvoir et de sensualité débridée. Les désirs de chacune étaient explorés et satisfaits avec une intensité débordante, créant une harmonie unique entre leurs différentes facettes érotiques.

 En dehors de ses soirées, les trois soumises continuaient d’obéir à tous les ordres de Maîtresse Jeanne en abandonnant toute liberté. Seul le plaisir de Maîtresse comptait pour elles. L’équilibre était trouvé, chacune était sa place naturelle.

L’ultime transformation en bimbo

Fiona, poussée par sa soumission envers Maîtresse Jeanne, commença à s’investir davantage dans sa transformation physique. Elle nourrissait le désir ardent de devenir une bimbo parfaite, souhaitant plaire et satisfaire pleinement sa dominatrice.

 Fiona consacra une grande partie de son temps et de ses ressources à la chirurgie esthétique. Elle passait par des procédures invasives pour augmenter sa poitrine, affiner son nez et ses lèvres, et sculpter son corps selon les canons de beauté préférés de Maîtresse Jeanne. Chaque intervention était un pas de plus vers son idéal de bimbo.

Antoinette, de son côté, observait avec fascination cette métamorphose de sa mère. Elle admirait la détermination de Fiona à poursuivre son objectif et trouvait sa nouvelle apparence magnifique bien qu’un peu vulgaire. Elle comprenait que Fiona trouvait dans cette transformation une forme d’accomplissement personnel et d’expression de sa soumission profonde.

 Au fur et à mesure que Fiona se perfectionnait physiquement, Maîtresse Jeanne encourageait et appréciait ses efforts. Elle reconnaissait la dévotion de Fiona et prenait plaisir à façonner sa bimbo selon ses propres goûts. Leur relation prenait une dimension encore plus profonde, mêlant domination, soumission et l’attrait d’une esthétique spécifique.

Fiona devenait accro à ces transformations, et voulait aller toujours de plus en plus loin, au risque de déplaire à Maîtresse Jeanne en sombrant dans la vulgarité. Cette dernière l’avait mise en garde, si elle devenait une pouffiasse bimbo, elle ne serait plus suffisamment attractive pour Maîtresse Jeanne et deviendrait alors une pute à faire tourner dans les soirées comme son fils Antoine, devenue fille, Antoinette.

 Cette dernière assistait souvent à ces moments d’intimité entre Maîtresse Jeanne et Fiona. Elle était fascinée par leur dynamique complexe et la passion qui les unissait. Elle ressentait une admiration pour la beauté éclatante de sa mère, ainsi que pour la confiance et l’assurance qu’elle gagnait grâce à cette transformation.

Cependant, Antoinette gardait un certain recul et ne souhaitait pas suivre le même chemin que Fiona. Elle avait découvert sa propre identité et son propre épanouissement dans une approche plus ludique et coquine de la féminité. Elle aimait expérimenter différentes tenues, jouer avec le maquillage et la séduction, sans pour autant chercher à modifier drastiquement son apparence. Elle prenait aussi plaisir à faire la pute dans les soirées organisées par Maîtresse Jeanne pour ses copines Dominatrices.

Antoinette et Fiona maintenaient une certaine compétitivité malgré leurs chemins différents. C’était à celle qui voulait le plus plaire à Maîtresse Jeanne ! Antoinette encourageait Fiona dans sa recherche de perfection bimbo dans l’espoir de la voir sombrer dans la vulgarité, tandis que Fiona jalousait Antoinette dans sa quête d’exploration féminine. Ce jeu malsain amusait beaucoup Maîtresse Jeanne qui voyait les liens familiaux se détruire sous ses yeux. Fiona et Antoinette redoublaient d’efforts pour lui plaire, quitte à obéir à tous ses caprices… Même les plus pervers !

L’humiliation extrême de la bimbo soumise

Fiona, profondément ancrée dans sa soumission envers Maîtresse Jeanne, commença à explorer une nouvelle facette de sa vie de soumise : l’humiliation extrême. Elle découvrit une forme de plaisir tabou dans le fait d’être humiliée de manière violente par sa dominatrice, et elle exprima son désir de vivre cette expérience devant Antoinette en pensant la mettre mal à l’aise de cette manière.

Maîtresse Jeanne, comprenant les désirs de Fiona et voyant clair dans cette demande, organisa une séance spéciale où Antoinette serait témoin de l’humiliation la plus totale de sa mère. Elle expliqua à Antoinette que l’humiliation était une forme d’expression de la soumission et que Fiona avait choisi volontairement de vivre cette expérience pour se sentir encore plus proche d’elle. Et aussi, que cette pratique permettrait à Antoinette d’assouvir son désir de vengeance à l’égard de sa propre mère.

Antoinette, curieuse et ouverte d’esprit, accepta d’assister à la séance, en souhaitant secrètement que Maîtresse Jeanne n’aurait aucune pitié pour sa mère. Elle était prête à découvrir une autre dimension de la soumission et de l’humiliation la plus extrême, même si la perversité d’une telle situation dépassait toute logique. Elle sentait qu’elle avait grand besoin de voir sa propre mère traitée comme une grosse chienne, sans pouvoir se l’expliquer.

La séance commença dans une atmosphère empreinte de luxure. Fiona se trouvait à genoux devant Maîtresse Jeanne, vêtue d’une tenue provocante choisie par sa Dominatrice. Maîtresse Jeanne commença à lui donner des ordres de plus en plus humiliants, la poussant à répéter des mots et des actions qui remettaient en question sa propre valeur et la mettaient dans une position de vulnérabilité.

Antoinette, spectatrice de cette scène, observait avec une fascination mêlée d’une certaine appréhension. Elle désirait que Maîtresse Jeanne repousse les limites de sa soumise et même puisse la briser totalement. Elle pouvait voir que Fiona était réellement plongée dans cette expérience, embrassant l’humiliation comme un moyen de renforcer sa soumission et de trouver une satisfaction profonde. Elle n’avait vraiment aucune dignité et cela faisait du bien à Antoinette. Elle s’imaginait aussi à sa place, sous les ordres de Maîtresse Jeanne.

Maîtresse Jeanne, toujours attentive aux réactions de Fiona, s’assurait de maintenir un équilibre entre l’humiliation et la dégradation totale.

Elle savait comment naviguer habilement dans les eaux troubles de ces pratiques extrêmes, avec une facilité déconcertante. À mesure que la séance progressait, Fiona se perdait de plus en plus dans son rôle d’objet de désir et d’humiliation. Elle trouvait un étrange plaisir dans l’exposition de sa vulnérabilité devant Maîtresse Jeanne et Antoinette.

Fiona avait perdu toute dignité au fil de la séance, Antoinette affichait un sourire radieux devant ce spectacle. Celle-ci ressentait un mélange d’émotions complexes… Elle se sentait à la fois intriguée, troublée et excitée par cette scène. Son clitoris raté coulait d’excitation entre ses cuisses, et sa petite culotte de satin commençait à être bien humide.

Après la séance, Fiona se sentait épuisée, elle avait honte d’avoir été ainsi maltraitée sous les yeux d’Antoinette mais elle acceptait pleinement sa place naturelle. Elle espérait qu’en étant une bonne soumise, Maîtresse Jeanne pourrait faire bénéficier Antoinette de ses préceptes et de son éducation recherchée par de nombreuses soumises. Elle avait honte de son fils, elle qui aurait tant voulu une fille, voilà que Maîtresse Jeanne lui offrait la possibilité d’avoir une femelle bien soumise qui tapinerait dans les soirées les plus huppées de la capitale…

L’éducation à la soumission totale

Maîtresse Jeanne décida qu’il était temps de partager avec Antoinette certains des ordres humiliants qu’elle avait donnés à Fiona lors de leurs séances intenses. Elle voulait que Antoinette comprenne pleinement la dynamique entre elles et la profondeur de la soumission de Fiona. Elle avait aussi envie de lui montrer toute la perversité dont elle était capable.

 Un soir, alors qu’elles étaient toutes les deux confortablement installées dans le salon, Maîtresse Jeanne prit la parole d’une voix calme mais chargée d’autorité. Elle expliqua à Antoinette que la soumission de Fiona était fondée sur un dévouement total et une volonté de se soumettre à ses ordres les plus extrêmes.

Maîtresse Jeanne décrivit alors certains des ordres humiliants qu’elle avait donnés à Fiona. Elle raconta à Antoinette comment elle avait ordonné à Fiona de se déshabiller devant elle, l’obligeant à se sentir vulnérable et exposée. Son corps de bimbo façonné par la chirurgie, offert aux yeux de sa propriétaire. 

Elle lui avait également demandé de se mettre à genoux et de répéter des phrases humiliantes qui remettaient en question sa propre valeur et la plaçaient dans un état de soumission totale.

Je suis Fiona, je n’ai aucune valeur, les femmes supérieures peuvent me pisser dessus” ou encore “Maîtresse Jeanne dispose de mon corps et de mon esprit, je suis totalement soumise à sa volonté, je suis une sale chienne qui ne mérite aucun égard“.

 Maîtresse Jeanne expliqua à Antoinette que ces ordres humiliants étaient conçus pour plonger Fiona dans un état de vulnérabilité et d’abandon total à son autorité. Ils étaient une façon de briser les barrières de l’ego et de permettre à Fiona de se connecter profondément à sa soumission.

Antoinette écoutait attentivement, ressentant à la fois une certaine curiosité et une grande excitation. Elle comprenait que ces ordres étaient une partie essentielle de la relation de soumission entre Maîtresse Jeanne et Fiona, mais elle ne pouvait s’empêcher de se demander comment Fiona se sentait lorsqu’elle était confrontée à de tels défis et si elle-même en serait capable.

Maîtresse Jeanne perçut le mélange d’émotions sur le visage d’Antoinette et prit une pause pour s’assurer de sa compréhension. Elle expliqua que tout ce qu’elle faisait avec Fiona était pour son bien, car son statut de soumise lui valait d’être ainsi exploitée.

Glorifier le champagne de Maîtresse

Fiona avait choisi de se soumettre à elle et d’explorer ces territoires d’humiliation pour offrir à Antoinette une belle éducation. 

Elle souligna également que Fiona prenait un grand plaisir à se faire pisser dessus et que l’urine des femmes supérieures permettait de renforcer encore sa soumission.

Lorsqu’elle sentait la pisse chaude lui couler sur le visage, elle se transformait en une véritable chienne assoiffée des plus gros godes-ceintures ! Antoinette devrait d’ailleurs se plier au même traitement afin de s’améliorer. 

En entendant ceci, Antoinette commença à mieux comprendre la complexité de la relation entre Maîtresse Jeanne et Fiona. Elle réalisait que l’humiliation extrême était un moyen pour Fiona de se connecter avec sa soumission, de repousser ses limites et de trouver un accomplissement profond.

Elle commençait à ressentir de la jalousie pour Fiona, en même temps que du dégoût. Sa propre mère, devenue bimbo et sac à pisse, était à la fois un modèle et une source de honte.

 Antoinette exprima à Maîtresse Jeanne son admiration pour la façon dont elle gérait cette relation, sa manière d’être intransigeante et de repousser toujours plus les limites et tabous.

Elle voyait maintenant l’importance de l’humiliation extrême pour dresser les soumises comme sa mère. Elle avait une vision plus claire de la relation entre Maîtresse Jeanne et Fiona, et elle ressentait le besoin de développer aussi sa propre soumission à Maîtresse Jeanne. 

Dans les jours et les semaines qui suivirent, leur lien se renforça. Antoinette était là pour explorer la soumission et l’humiliation de plus en plus extrême, et elle y prenait un grand plaisir…

déesse jeanne blog

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4 Commentaires

  1. Margot

    tres belle histoire .
    Pareillement, j ai du mal avec l’ apport de la mère..
    Mais je respecte votre grande créativité artitique.
    Ce recit me parle car je suis une Syssi, soumise à Déesse Jeanne.
    j’ aimerais participer à une soirée privée de Déesse Jeanne.
    Margot

  2. Lahire

    Voilà une lecture estivale fort agréable. Qu’il est doux d’imaginer Déesse Jeanne nous soumettre à Sa volonté ! En revanche je respecte chaque parcelle de votre Art, mais pour ma part, je préfère ne point y adjoindre Ma Maman.

    Mais cela reste une magnifique fiction ! Je suis comme toujours Déesse, ébloui par Votre Art et Votre sens du récit.
    Fabuleux !
    Je suis en Votre pouvoir !
    Merci Déesse Jeanne !

  3. Larbin Face-de-chausson

    Merci nez 👃 au sol pour ce récit estivale
    Mirabelle je t’en supplie n’arrêtes jamais de faire des portrait de maîtresse….ils sont tous exceptionnels
    Le récit et très immersif…
    J’aimes tant vous voir écrire ✍️
    Peut être un jour raconterez vous
    L’histoire d’une vengeance gynarchique faites d’expiration
    De vénération
    Bien prosterné devant votre portait sublime Merci

    • Déesse Jeanne

      J’ai entendu tes suppliques, larbin. Qui sait… Peut-être qu’un jour tu auras ce privilège de lire un tel article sur Mon blog.

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