Réserve ta séance !

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Écrit par : Déesse Jeanne

La Déesse suprême de ce Royaume. Dominatrice expérimentée, lesbienne, gynarchiste. Spécialisée dans l'humiliation et la féminisation de l'espèce mâle. Ne résiste plus, soumets-toi à Sa Volonté !

Le fantasme breathplay

Le fantasme breathplay, c’est à dire être étouffé, étranglé, et privé d’oxygène, se retrouve souvent dans vos requêtes. C’est une pratique dangereuse à ne pas prendre à la légère. Si tu désires la pratiquer en réel, assure-toi de prendre toutes les précautions nécessaires. La sécurité est le maître mot de toutes les pratiques des plus soft aux plus extrêmes. Mais lorsqu’on s’en tient au simple fantasme à l’écrit, les limites s’envolent… C’est ainsi que J’ai rédigé ce texte pour l’un de Mes serviteurs lors d’une correspondance par e-mail, fort inspirée par les jeux de privation d’oxygène.

J’ai souhaité partager ce texte avec Mes lecteurs afin de vous faire découvrir cette pratique. Que vous soyez adeptes de breathplay ou tout simplement curieux de ce type de jeux, ce texte vous transportera au sein de Mon donjon où les préjugés n’existent pas. Je t’offre ce moment de lecture, hors du temps, de toutes les conventions sociales et autres tabous qui empoisonnent le quotidien. Dans Mon Royaume, sois libre de vivre tous tes fantasmes, sans jugement et en toute sécurité !

fantasme breathplay

Le fantasme Breathplay

Je suis ravie d’accueillir un nouveau sujet d’expérience dans Mon Royaume, bienvenue en ces lieux. La lourde porte d’entrée s’est refermée juste après ton passage, la tension monte et le trouble te gagne dès que tu aperçois la Reine de ce domaine.

La première rencontre

Divine, rousse flamboyante, parée des plus beaux atours. Vêtue d’une robe corsetée en cuir, de sublimes cuissardes à talons aiguilles sont à mes pieds. Les ongles vernis d’une laque rouge hypnotique, et ce visage à la peau diaphane est enchanteur. Symphonie de délicatesse ponctuée d’un regard vert forêt, délicieusement envoûtant. Un trait de khôl noir souligne mes yeux. Tu es ébahi par ma prestance, comment résister à la sublime Reine que j’incarne ?

Je te fais signe de te prosterner à mes pieds, tandis que je m’installe sur mon trône luxueux.

Fais donc tes preuves, larbin !

Tu comprends instinctivement que tu dois te mettre à l’œuvre, nettoyer mes bottes est le réflexe inhérent à ta condition soumise. Un claquement de doigts résonne dans tes oreilles, tu comprends que tu dois t’activer à la tâche. Tu commences à lécher mes semelles, à lustrer le cuir, à sucer mes talons. Tu prends un grand plaisir à être ainsi à ta juste place, dirigé par la sublime Reine qui te domine.

Tu t’appliques à rendre ce cuir encore plus brillant et propre qu’il ne l’était. Tu désires me satisfaire, tu brûles d’envie de m’être utile. J’empoigne ton visage contre mes semelles, tu n’oses pas te dérober. Le plaisir est mêlé à la crainte de me déplaire, je pourrais à tout moment décider d’une sanction si je ne te juge pas suffisamment à la hauteur.

Tu entends au loin des cris, ils semblent provenir des cachots en contrebas. Il fait trop sombre pour distinguer ce qu’il peut se passer, est-ce que ce sont les esclaves de la Reine qui hurlent ainsi de désespoir ? Être relégués au fond des cachots, torturés, privés de toute liberté ? Tu ne te laisses pas happer par ces pensées fugaces, tu préfères t’appliquer à la tâche.

Au bout de quelques instants, je vérifie ton ouvrage. Le cuir me semble bien lustré, tu as donné le meilleur de toi-même. Mais ce n’était qu’un premier test… Seras-tu à la hauteur du prochain test ? Pourras-tu endurer les sévices que je te réserve ? Je me relève et surplombe ton infériorité, tu trembles face à mon infinie grandeur. Tu voudrais me supplier de t’accorder la clémence, mais… Tu gardes le silence, tu préfères m’obéir docilement.

Je te regarde d’un air hautain, plein de dédain envers l’inférieur que tu es. Puis je tourne les talons et je m’en vais dans la pénombre, je me dirige vers les cris que tu entendais à l’instant. Choisis-tu de rester à ta place, ou oses-tu me suivre ?

Vers la salle des tortures

“Suis-moi vers le sous-sol !”

Mon invitation résonne depuis la pénombre, un léger écho se formant jusqu’à tes oreilles. Tu t’empresses de me suivre, comme une ombre, prêt à braver les ténèbres. Nous arrivons dans l’espace dédié aux tortures physiques et psychologiques. Les esclaves enchainés dans leurs cellules se mettent à geindre, quémandant d’être libérés afin de pouvoir se rendre utiles à ma supériorité. Je les ignore, car aujourd’hui je dispose d’un nouveau jouet que j’ai hâte de mettre à l’épreuve…

Je désigne la croix de Saint André, tu comprends que tu dois aller t’y tenir. Je souris en te voyant trembler, ne sachant quels supplices je vais te faire subir. Je saisis une paire de menottes en acier et j’attache tes bras à la croix. Le métal froid sur tes poignets te fait frissonner, tandis que tu sens mon souffle chaud vers ton visage lorsque je te dis ceci :

“Te voici à ma merci, je vais pouvoir faire ce que je veux de toi… Tu es désormais l’esclave de ma volonté toute puissante !”

J’attrape une longue corde de cuir dont je me sers pour attacher tes chevilles. Tu es solidement attaché à la croix, totalement offert à moi. Aucun moyen de t’échapper, tu es livré à mon bon vouloir. Je m’en vais quelques instants, c’est maintenant la peur de moisir ici qui t’envahit… La Reine va-t-elle daigner revenir ici ? Est-ce qu’un esclave va être nommé pour te mettre à l’épreuve ?

Mais tu entends le bruit de mes talons se rapprocher, voilà que je reviens avec des bougies plein les mains. Je m’affaire à les allumer tout autour de toi. Ma beauté est transcendée par l’éclairage tamisé, mais tu n’oses pas me regarder avec insistance, par peur de me déplaire.

Tu peux désormais mieux distinguer le lieu où nous nous trouvons. Des objets de torture sont attachés aux murs, cravaches, martinets, objets métalliques que tu ne connais pas…

fantasme breathplay

L’initiation au fantasme breathplay

Je tourne autour de toi, telle une prédatrice dont tu es la proie. J’enfile une paire de gants en cuir, me voici prête à mener mon expérience favorite. Combien de temps pourras-tu résister à la privation d’oxygène ? Vas-tu te mettre à suffoquer comme toutes ces larves mâles ? Vas-tu prendre plaisir à être étouffé, et même étranglé, entre mes mains divines ? J’enserre ton cou en plongeant mon regard perçant dans le tien. L’air vient à manquer, tu as de plus en plus de mal à respirer. Mon geste est sûr, tu comprends que tu n’es pas le premier à subir un tel traitement.

Mérites-tu de vivre en ces lieux ? Es-tu prêt à subir toutes les tortures de mon choix ?

J’aime te voir te débattre sans pouvoir t’échapper, lire la peur dans tes yeux tandis que je prends un vif plaisir à te torturer. J’ai décidé de t’accorder la vie, je pense que tu as tout pour demeurer un bon sujet d’expérience. Tu sembles être résistant, prompt à me divertir comme je le désire. Je vais faire de toi mon esclave dévoué à me satisfaire, capable de tout endurer dans l’espoir de me faire sourire.

J’enserre un peu plus mes mains gantées de cuir contre ton cou. Ton visage s’empourpre, l’air continue de manquer. Mais tu tiens bon, tu prends sur toi, tu sais que ce test va te permettre d’accéder au Paradis. Je te murmure à l’oreille :

“Le conditionnement commence dès maintenant ! “

Je relâche la pression contre ton cou, aussitôt tu te mets à haleter. Qu’il est agréable de respirer, n’est ce pas ? Tu te gaves de l’oxygène où flotte l’effluve de mon parfum. Fleurs de jasmin, de toute évidence. Tu es sous mon emprise, tu le sais et tu l’acceptes, car tu n’as pas d’autre choix que de te plier à ma volonté toute puissante. Un nouveau murmure à tes oreilles :

“Tu m’appartiens, que ce soit de gré ou de force, je vais te transformer de la manière qu’il me plait.”

Tu commences à comprendre le sort que je te réserve, tu ne sortiras jamais de ces lieux. Tu es condamné à être l’esclave de la Reine rousse flamboyante, être à ses pieds est ta destinée. Tandis que tu te perds dans tes pensées, tu me vois saisir un rouleau de cellophane. Un frisson parcourt tout ton corps. Tu comprends que cela ne fait que commencer. J’entoure ton visage à l’aide de ces feuilles de cellophane, le contact du plastique te donne chaud.

La privation d’oxygène

Au fil des tours, la prison de plastique se constitue. Ta vision se trouble, te voici à nouveau privé d’oxygène mais aussi de la vue. Tes sens limités, ton ouïe atténuée. Le stress monte encore d’un cran, attaché à la croix de Saint André, le visage prisonnier de ce sarcophage de cellophane. Combien de temps vas-tu pouvoir tenir ainsi ? 30 secondes ? 45 secondes ? Une petite minute ?

Mon rire arrive jusqu’à tes oreilles, étouffé par le plastique, tu comprends que je n’ai aucune pitié pour l’espèce mâle. La Reine est une sadique qui adore torturer ses sujets, au simple motif qu’ils sont là pour ça. Subir et remercier d’être ainsi traités, dressés, façonnés. L’air manque, tu ne peux plus respirer. Le battement de ton cœur s’accélère, l’angoisse de mourir entre mes mains divines commence à t’envahir. Chaque seconde te parait être une éternité… Mais d’un coup, tu sens mes ongles lacérer le cellophane, permettant enfin à l’air de revenir jusqu’à toi.

“J’ai décidé de te laisser vivre, esclave”.

Tu ressens l’envie irrépressible de te prosterner à mes pieds, en signe de reconnaissance. Mais les liens de cuir et les menottes en acier t’en empêchent. Je te libère de cette prison de cellophane, tu retrouves enfin la vue. Et quelle vue merveilleuse… Mon visage est radieux, mon sourire si gracieux. Mon regard est empreint d’une flamme que tu n’avais pas encore remarquée jusqu’à présent. C’est l’excitation de t’avoir ainsi soumis à ma volonté qui teinte mon expression d’une autre manière. La domination coule dans mes veines, tu ne sortiras jamais d’ici indemne…

fantasme breathplay

Mes vidéos breathplay

J’ai réalisé plusieurs vidéos abordant ce thème, parfois en tant que pratique principale, d’autres fois en tant que pratique secondaire. Si tu as un fantasme breathplay, Je suis certaine que tu apprécieras ces Merveilles :

Je maltraite et j’étrangle mon esclave
Mon esclave condamné à se faire étrangler
Facesitting sur la gueule de mon esclave
Torturé par une Dominatrice en cuir
Le chant de la sirène

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As-tu aimé lire cette nouvelle dédiée au fantasme breathplay ? Est-ce que tu as déjà pratiqué cela ? Quelle est ton expérience dans ce domaine ? Est-ce une pratique qui t’attire ou au contraire te rebute ? As-tu déjà fantasmé d’être étranglé ou étouffé ? La privation d’oxygène est-elle l’une de tes phobies ? Dis-Moi tout en commentaire de cet article ! Dans Mon Royaume, tu peux t’exprimer en toute sincérité sans peur d’être jugé.

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déesse jeanne blog

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1 Commentaire

  1. NooN

    Quel merveilleux texte! Je me suis senti transporté au coeur du récit. Un vrai moment d’extase. Votre plume aiguisé permet à nous autres de se projeter dans cet univers féérique où Vous contrôlez les éléments.

    Je confesse nourrir ce fantasme. Sentir une délicate main féminine se serrer sur ma gorge, ressentir sa puissance…

    Je suis beaucoup plus fétichiste des mains que des pieds, je pense que ça doit jouer sur ce fantasme.

    Merci d’avoir partagé avec nous cette sublime prose.

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