Ce week-end je me suis amusée à tourmenter mon esclave… Je prends un malin plaisir à remettre ce larbin encagé à sa place. Son égo a parfois tendance à resurgir, ce qui a le don de m’exaspérer. Afin de le dresser, il n’y a rien de mieux que de l’humilier à mes pieds !
L’esclave encagé de Déesse Jeanne
Mon esclave a parfois ces attitudes de mâle macho qui resurgissent, il sait combien cela me déplait mais pourtant il ne peut s’en empêcher, c’est plus fort que lui. C’est comme s’il n’arrivait parfois plus à accepter son côté soumis et voulait se rassurer d’être “un homme un vrai”. Pathétique.
Je ne peux pas tolérer ces affronts alors je le remets aussitôt à sa place en l’humiliant, le giflant, ou en lui ordonnant de se mettre complètement nu au sol à mes pieds. Comme il est sous cage de chasteté, l’excitation mêlée à la sensation d’être contraint sous mon pouvoir le replace instantanément dans un état de soumission totale.
Il a beau parfois croire qu’il est un homme, un vrai… Mais c’est justement parce qu’il est homme qu’il est aussi faible. Il ne peut me résister, je le sais, je n’hésite pas à en jouer pour obtenir ce que je veux de lui. Un serviteur dévoué, un masseur appliqué, ou un défouloir à tourmenter… Il doit être ce que j’exige et ce n’est pas négociable.
Jouer avec ses faiblesses
Cela me plait de torturer son sexe encagé du bout de mes pieds… sachant qu’il est complètement fou de mes pieds c’est encore plus excitant. Je sais que sa souffrance est mêlée de plaisir, celui d’être à mes pieds, celui de m’adorer aveuglement. J’aime l’entendre me supplier de ne pas trop le faire souffrir, lui, l’homme le vrai, fier de ses ridicules poils, est subitement transformé en larve suppliante à mes pieds !
Alors je continue la douce torture en jouant du bout de mes pieds sur sa cage de chasteté… Je savoure l’instant en m’allumant une cigarette et en utilisant alors mon esclave comme cendrier.
Je lui ordonne de me répéter à quel point il est minable face à moi, il s’empresse de le dire “je suis minable Maîtresse, je suis minable”. Voilà ce que j’en fait de l’homme le vrai ! Un minable bon qu’à ramper à mes pieds et me servir comme je le désire !
Après ce petit jeu, je l’ai laissé là au sol comme le minable qu’il est, je suis allée me prélasser dans le canapé. Il s’est jeté à mes pieds, m’a suppliée de me les masser. J’apprécie le voir me supplier ainsi de m’apporter un moment de détente.
Cet ultime privilège
Bien évidemment, ce genre de moment n’est envisageable qu’au sein d’une relation D/s aboutie. Ce n’est certainement pas le type de pratique d’une première entrevue, ni d’une seconde… J’estime que cela nécessite une certaine intimité et confiance entre l’esclave et sa Maîtresse. Chaque relation D/s est unique et m’inspire différentes envies ou folies. Je déteste prévoir les choses, je suis imprévisible. Ce que nous vivrons ensemble dépendra toujours de ta capacité à m’être dévoué, de ton adoration, de tes limites et ton désir de les dépasser pour moi, et de mon humeur du moment. Tu auras beau me supplier d’essayer telle ou telle chose, je ferai toujours ce qu’il me chante de faire.
Merci Déesse Jeanne de nous montré ces superbes photos . Pourquoi du maquillage ? vous sublimez deja la photo rien qu’avec votre regard une femme hautement sublime
Il a beaucoup de chance
Merci à Déesse Jeanne de nous offrir ce moment de partage. Toute attention est un privilège et sa volonté absolue.
Gloire à notre Déesse.
Cet article est marquant une tranche de vie de notre guide spirituelle .
J’y pense régulièrement, les photos l’histoire tout est imprimé dans ma mémoire.
Votre blog est ma bible vos vidéos mon paradis
Merci à notre Reine de nous faire partager avec son esclave ces moments jubilatoires, pour Notre Déesse, et de douloureuse frustration pour son soumis ! J’apprécie toujours plus le rire de notre Souveraine, tellement envoutant…